Cette autofiction analyse avec humour les conséquences de la transmission du traumatisme de la Shoah chez les générations qui ont suivi.
Et si Freud avait été le psy d’Hitler ? Le mal absolu aurait-il pu être évité ? Dans ce “stand-up d’art et d’essai”, conférence et confidence, mi-idiot, mi-intello, Éric Feldman explore avec humour et gravité les traumatismes des “enfants cachés” survivants de la Shoah : ses propres parents, oncles et tantes.
Sur le fil d’un mystère qu’on se prend à vouloir résoudre, le texte nous plonge dans un tourbillon de pensées, d’émotions, de rires et de souvenirs aux accents yiddish. On y croise notamment tonton Lucien et tata Sarah, le grand écrivain Isaac Bashevis Singer, Milosh le chat d’Éric, et on pense aux grandes figures des “comedians” juifs new-yorkais. Une autofiction pour dépasser son histoire personnelle, toucher le cœur des gens et célébrer la joie d’être vivant.
Production et diffusion Le BEC – Bureau des écritures contemporaines (Claire Nollez et Romain Courault).
Production Miam Miam
Coproduction Théâtre National de Strasbourg et Théâtre du Rond-Point
Soutien de La Fondation pour la Mémoire de la Shoah ; Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines ; du Centquatre – Paris ; du Théâtre du Petit Saint Martin ; du Château de Monthelon Atelier de fabrique artistique ; de la Maison Jacques Copeau ; de la Ville de Dijon ; de la Région Bourgogne – Franche Comté ; de la DRAC Bourgogne – Franche Comté.
Texte et interprétation Éric Feldman
Mise en scène et collaboration à la dramaturgie Olivier Veillon
Soutien amical à la dramaturgie et à la mise en scène Joël Pommerat
Création lumière et espace scénique Sallahdyn Khatir
Création sonore et régie générale Louise Prieur